Pendant la Guerre de 80 ans contre l’Espagne, on a déjà utilisé les inondations comme moyen de défense. Cependant, l’exemple certainement le plus connu de vous, est la ‘Hollandse Waterlinie’, la ligne construite en 1672 lorsque la France, sous Louis XIV, a envahi les Pays-Bas. A la fin du 18ème siècle, contre les Prussiens, on a de nouveau essayé de les bloquer par l’eau, mais les Prussiens ont contourné la ligne en traversant le Haarlemmermeer avec des petits bateaux. Pendant l’invasion française de l’hiver 1794-1795, il gelait très fort, les soldats français pouvaient facilement traverser les terrains inondés.
Pendant cette période durant laquelle les Pays-Bas étaient un état vassal de la France (1795-1813), on commençait à réaliser une première ligne de défense autour d’Amsterdam (plus proche de la ligne actuelle), sous la direction de l’ingénieur et futur ministre de guerre Krayenhoff. Cette ligne est connue sous le nom de ‘Postes de Krayenhoff’, et quelques ouvrages de la ligne de défense d’Amsterdam actuelle se trouvent au même endroit que les postes de Krayenhoff.
La première guerre mondiale est la période la plus importante pour la ligne de défense d’Amsterdam. Le gouvernement néerlandais a tenu à une politique de neutralité stricte. En 1914, l’armée est mobilisée et la ligne de défense est équipée.
Sous la pression de l’Allemagne, le secteur occidental était encore renforcé pour prévenir une invasion anglaise. Dans un rapport de décembre 1914 il est indiqué que le commandement de l’armée allemande était d’opinion qu’il ne serait pas intéressant pour les Anglais d’envahir l’Allemagne en passant par les Pays-Bas, à cause de la nature du sol et des inondations. C’est entre autres la raison pour laquelle l’Allemagne aussi, renonçait à un tel projet.
Après une longue période de mobilisation, de quelques mois jusqu’à deux ans, on peut conclure que l’ennui a été l’ennemi le plus important pour les soldats, pendant cette période. Il fallait monter la garde, entretenir les armes et les bâtiments, bref, la routine quotidienne, mais la plupart du temps, il n’y avait rien à faire. Les forts n’étaient pas très confortables et leur situation souvent très isolée. Les soldats jouaient aux cartes, faisaient du sport, parfois on chantait en groupe ou on jouait au théâtre. Dans quelques forts, ou trouve toujours des ‘’ graffiti’’ des soldats sur les murs.
Pendant cette période durant laquelle les Pays-Bas étaient un état vassal de la France (1795-1813), on commençait à réaliser une première ligne de défense autour d’Amsterdam (plus proche de la ligne actuelle), sous la direction de l’ingénieur et futur ministre de guerre Krayenhoff. Cette ligne est connue sous le nom de ‘Postes de Krayenhoff’, et quelques ouvrages de la ligne de défense d’Amsterdam actuelle se trouvent au même endroit que les postes de Krayenhoff.
La première guerre mondiale est la période la plus importante pour la ligne de défense d’Amsterdam. Le gouvernement néerlandais a tenu à une politique de neutralité stricte. En 1914, l’armée est mobilisée et la ligne de défense est équipée.
Sous la pression de l’Allemagne, le secteur occidental était encore renforcé pour prévenir une invasion anglaise. Dans un rapport de décembre 1914 il est indiqué que le commandement de l’armée allemande était d’opinion qu’il ne serait pas intéressant pour les Anglais d’envahir l’Allemagne en passant par les Pays-Bas, à cause de la nature du sol et des inondations. C’est entre autres la raison pour laquelle l’Allemagne aussi, renonçait à un tel projet.
Après une longue période de mobilisation, de quelques mois jusqu’à deux ans, on peut conclure que l’ennui a été l’ennemi le plus important pour les soldats, pendant cette période. Il fallait monter la garde, entretenir les armes et les bâtiments, bref, la routine quotidienne, mais la plupart du temps, il n’y avait rien à faire. Les forts n’étaient pas très confortables et leur situation souvent très isolée. Les soldats jouaient aux cartes, faisaient du sport, parfois on chantait en groupe ou on jouait au théâtre. Dans quelques forts, ou trouve toujours des ‘’ graffiti’’ des soldats sur les murs.
Dans les années 20, la ligne n'était plus destinée à servir de Réduit national, mais était incluse dans la ‘Forteresse Hollande’, c`est à dire toute la partie occidentale du pays considérée comme importante au niveau stratégique. Pendant le début de la deuxieme querre mondiale, la mobilisation générale débutait en août 1939, la partie nord de la ligne de défense d’Amsterdam était mise en état d’alerte.
Mais après le bombardement qui faisait partie de l’attaque-surprise de Rotterdam en mai 1940, les Pays-Bas ont capitulé immédiatement, avant même que les troupes allemandes aient le temps d’arriver à la ligne de défense d’Amsterdam.
Pendant les années de l’occupation, la plupart des forts ont été utilisés par l’armée allemande comme dépôt ou caserne, parfois aussi comme poste d’écoute ou poste pour l’artillerie anti-aérienne.
Dans beaucoup de forts, les pièces d’artillerie et les métaux comme les tourelles blindées étaient démontées et utilisées pour la production de chars en Allemagne. Pendant l’hiver de la disette, en 1944, beaucoup de bois était pris par la population civile pour chauffer leurs maisons. A la fin de la guerre, les Allemands ont inondé une partie des terrains contre les armées de libération.
Mais après le bombardement qui faisait partie de l’attaque-surprise de Rotterdam en mai 1940, les Pays-Bas ont capitulé immédiatement, avant même que les troupes allemandes aient le temps d’arriver à la ligne de défense d’Amsterdam.
Pendant les années de l’occupation, la plupart des forts ont été utilisés par l’armée allemande comme dépôt ou caserne, parfois aussi comme poste d’écoute ou poste pour l’artillerie anti-aérienne.
Dans beaucoup de forts, les pièces d’artillerie et les métaux comme les tourelles blindées étaient démontées et utilisées pour la production de chars en Allemagne. Pendant l’hiver de la disette, en 1944, beaucoup de bois était pris par la population civile pour chauffer leurs maisons. A la fin de la guerre, les Allemands ont inondé une partie des terrains contre les armées de libération.